Christian Roy présente sa réflexion sur la façon de nommer, de qualifier, ou de classe les projets d'utilisation des données d'usage en culture.
« Ça fait plus de dix ans que je m’intéresse aux métadonnées descriptives des contenus culturels. Depuis trois ans, je travaille également à exploiter les données d’usages associés aux consommateurs de produits culturels, non seulement pour mieux commercialiser ces derniers, mais également pour aider à la prise de décision dans les organisations.
L’intérêt pour ces pratiques est croissant. Les organisations culturelles prennent progressivement le virage numérique et sont de plus en plus exposées aux données et à leur potentiel.
Je constate toutefois qu’au-delà du «buzzword» et de l’intérêt général pour les «données», plusieurs ont du mal à cerner clairement ce qu’ils peuvent faire, concrètement, avec ces données. Je constate également qu’en mettant tous les projets «de données» dans le même lot, on crée de la confusion.»